25 août 2006

FetisH or no FetisH ??

Un site ou je presente mes photos FetisH :

A force de travailler avec des photographes pro.... j'ai contracter le virus !!

18 mars 2006

sacré retour !

La vache que je suis resté longtemps sans faire de commentaires sur mon p'tit bébé de bloG !!
Un sacré bout de temps que je passais tout de même devant mon 19" à paufiner mon autre site... (mannixxx.montaf.com)
Je fais encore plus de corsets, je rencontre encore plus de modèles et de photographes... et en plus le résultat est canon. Reste plus qu'a résoudre le problème suivant : "comment etre a la foid au four et au moulin ?"... Pas encore trouvé de réponse....
Un forum Belge aussi me prends pas mal de temps (parano.be) ... ne cherchez pas à y rentrer : si vous n'ètes pas parrainé l'entrée vous sera impossible... Vous ne pourrez y voir qu'une présentation de ce forum géant qu'est celui-ci !
[ mode "je suis crevé" : ON] => DodoO°

01 février 2006

"Fetish SM'art by MannixxX"

L'acSEXories D.Ziner ouvre une galerie sur le NET !
" Fetish SM'art by MannixxX "

www.mannixxx.com

CouRrANt JaNvieR 2006 !!

29 janvier 2006

Séance à Bruxelles !!



Nouvelles galeries photos "MannixxX Circus" qui fait péter d'audimat' sur mon site www.mannixxx.com !!

14 janvier 2006

B4 nuit elastique de MannixxX



on prends les bonnes recettes qui marchent et on recommence !
Dress-code de la
nuit élastique a respecter !!

18 décembre 2005

2 nouveaux sites !


Et bien en attendant la sortie de mon site BLOCKBUSTER pour 2006 je vous ai concocter deux petit sites la semaine dernière :

www.mannixxx.montaf.com
Passez-y, laissez un p'tit message ça fait du bien à l'égo (Légo ? LOL)
histoire de me soutenir (c'est pas un fan club !!).

16 décembre 2005

Dream Team de choc et de charme !


Voilà près de 15 ans que je suis dans la création d´accessoires. Après des débuts en 1990 dans le bijoux fantaisie indien, le bijoux argent américain, la conception de petites maroquineries, les colliers pour chiens de luxe, le bijoux surf, et l?importation de décos je me suis retrouvé en 1999 dans le monde du BDSM à réaliser ma collection d´acSEXoires (que j´avais projeter de commercialiser depuis 1993) en inox et des corsets sur mesures? 2 ans de pause à bosser dans l?objet publicitaire que voici le « milieu » qui me rappelle en 2005 pour mes fameux corsets et me demande de replonger à nouveaux.

Vous m?avez demander? me voici de retour !!!

14 décembre 2005

une nouvelle galerie !!!




Ben voila je vous l'avais dit : Quand on me censure je réagis ! une toute nouvelle galerie viens de voir le jour !!! ...et l'occasion m'a été donné par AlexandreBUFFALO par notre amitié et notre shooting photo de ce jour !.... cette nouvelle galerie sera très rapidement complétée par les photos classées des divers photographes et fetisH modelS presents a ce "fetisHShooting".

13 décembre 2005

en attendant....


Voilà une petite GALLERIE de mes corsets vu que l'ancienne s'est faite censurée !

12 décembre 2005

Et bien c'est pour demain et ça va etre grand !! Mon amis Alexandre nous a concocté ça !!

11 décembre 2005

Lu dans "Libération"...

Modes de vie. 1 500 personnes pour le grand raout SM et fétichiste dans un club parisien.
« Je suis l'esclave de mes soumis »


"Ça n'est «pas négociable», dit la jeune femme en cuissardes et talons pointus avec un grand sourire. Pour franchir le seuil de la nuit Dèmonia, grand rendez-vous annuel de la scène SM et fétichiste, il faut enlever son jean dans le hall de La Loco, la boîte de nuit parisienne où se tient la manifestation. Et le remplacer par une microbande de vinyle, abusivement baptisée «jupe». Bien sûr, si on préfère, il y a aussi ça, propose la jeune femme en montrant une combinaison avec «trous stratégiques» aux seins et à l'entrejambe. Va pour la jupe.
Plus de 1 500 personnes sont attendues ce jeudi soir. «Des maîtres et des maîtresses ont fait le déplacement d'un peu partout en Europe, et même des Etats-Unis», explique Francis, organisateur. Il est 20 heures, la soirée vient à peine de commencer, et, déjà, partout où se porte le regard, du cuir, des bottes, des colliers à pointes, des chaînes, des chairs enserrées, des fentes de latex d'où s'échappent un sein, une fesse, une verge. A gauche, une petite grand-mère moulée de cuir noir promène en laisse un grand drag-queen en perruque bleue. A droite, un couple entièrement encagoulé de latex, une fermeture zippée à la place de la bouche, tente de se dire quelque chose à l'oreille. Un barbu en tutu et talons aiguilles cherche une cigarette. Seule une paire de mocassins de ville aux pieds d'un homme replet entièrement nu rappelle l'existence d'une autre vie, régie par d'autres codes.
Au «coin photo», une jolie brune, la quarantaine, pose en relevant sa jupe. Elle dévoile un tatouage sur son pubis entièrement épilé, et deux anneaux de piercing sur les lèvres de son sexe. «Le tatouage, c'est les laçages d'un corset, mais ça a une autre signification, liée à mon histoire intime», dit-elle. Son mari, un brun jovial en combi short latex, fouille dans un sac et en sort une boule en fer munie d'une courte chaîne. Lentement, avec des gestes précis, il se penche entre les cuisses de sa femme, accroche la boule aux deux anneaux de piercing.
«Le problème...» La séance terminée, Héloyse et Estèphe ­ leurs «pseudos SM», invitent à prendre un verre. Ils sont restaurateurs et négociants en vin, habitués des soirées SM, fétichistes et libertines. «Celle-là, c'est de loin la plus belle en France, disent-ils en choeur. Mais il faut voir ce qui se fait en Allemagne ou en Angleterre. Ils sont beaucoup plus avancés.» Un homme, la cinquantaine, en costume de cuir noir, se joint à la discussion et opine vigoureusement. Pascal ­ son «vrai prénom» ­ dirige la boîte SM Cris et chuchotements, à Paris. «Le problème, c'est qu'on nous colle encore l'image de pervers. On nous prend pour des cinglés, alors que nous sommes des gens sains, qui assumons notre sexualité. Il y a un grand respect dans ce milieu, dit-il, un oeil sur la microjupe vinyle. Tu verras. Il n'y en aura pas un qui te mettra la main au cul ce soir.»
Hedony, 23 ans, grande jeune fille moulée dans une robe couleur chair, tient le même discours : «Il y a des gens de 18 ans et des gens de 70 ans, tous les milieux sociaux, tous les profils, c'est un grand brassage !» La moue dubitative, Estèphe n'est pas tout à fait d'accord. «Y en a marre de dire qu'on est des gens normaux, râle-t-il en contemplant une femme aux seins tire-bouchonnés dans des spirales en fer. Tout ça, tout ce qu'on fait, c'est bien pour ne pas être comme les gens normaux !»
Apothéose. La voix de Francis retentit dans les haut-parleurs. Il est déjà minuit, heure de l'apothéose finale pour le show qui se tient dans la salle principale. Sur la grande scène, Maîtresse Salem, la poitrine débordant d'un corset ultraserré, fouette consciencieusement ses esclaves au dos rougi. A l'étage au dessus, dans une ambiance plus cosy, on dîne chinois et discute. «Il y a autant de pratiques que de pratiquants, philosophe un homme en costume de curé. Chacun définit ses limites.» Une maîtresse infirmière, férue de «flagellation et manipulation médicale», explique son dégoût des trucs «trop hard, quand ça devient boucherie». Elle précise qu'il ne faut pas se méprendre sur le jeu dominant/dominé. «J'ai souvent l'impression d'être l'esclave des soumis. Certains sont extrêmement exigeants, très égoïstes dans leur plaisir.» A côté, Christophe, la trentaine, technicien son et lumière, répète qu'il ne comprend pas «tous ces hommes habillés en femme. Par contre, un plan à trois avec deux hommes pour une femme, ça, c'est clean, c'est cool».
Il est 1 heure et l'on n'a pas encore exploré le sous-sol, rebaptisé Donjon. Francis a conseillé de ne «pas trop se focaliser» sur cette partie «pas forcément représentative». Dans la foule et la moiteur, on ne distingue rien au premier abord. Puis, accrochées au plafond, des chaînes. Et, accrochés aux chaînes, des hommes et des femmes. Ceintrée de cuir rouge, un sourire carmin extatique, une maîtresse approche une paire de testicules avec une cigarette allumée. Une autre fouette à tout va, tandis qu'un homme, à terre, lui lèche goulûment la botte. «C'est de l'avilissement, commente un grand chauve baraqué, sans pour autant détacher les yeux de la scène. L'échangisme, d'accord, mais ça...» Pierre, 29 ans, informaticien, n'est pas du même avis. «Il y a une heure, une femme a accepté de me cravacher. C'était la première fois. J'ai toujours su que ça me plairait, ça m'a extrêmement plu», soupire-t-il. Pierre explique son attirance SM par son «très grand amour de la femme. Il n'y a rien de plus jouissif que d'être aux pieds d'une très belle femme.»
Videurs hilares. A ces mots, une maîtresse en latex dégringole du plafond et met fin à l'interview, talons aiguilles en avant. Il est 3 heures, la fête bat son plein. On décide néanmoins de s'éclipser. Sur le trottoir de la place Blanche, face aux videurs hilares, on fait le bilan de la soirée : un coup de talon aiguille sur le crâne, un autre de plateform shoes au menton, quelques salves de fouet égarées. Mais, c'est vrai, aucune main au cul."

01 décembre 2005

la 45 ème representation... de la nuit elastique !


Ben voila on arrive a la fin de l'année à 2 jours de la nuit Démonia et je vois ma moitié sur le flyer de la nuit élastique.... et en plus y'a deux moitiés !! ...Bref 2 raisons de plus pour la voir dans ma vie d'en-vie !

26 novembre 2005


Ben voila c'est pour ce soir... leur 2ème édition !
Pour y avoir été à la première au Donjon... ça devrait etre super comme la première fois !! On ne voulait plus partir et on a fait une AFTER chez moi jusqu'a midi... tout un programme !
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